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AVIS AUX LECTEURS
LE REDACTEUR EN CHEF le 20/01/2008, 23 11 56 (UTC) | | Il EST PORTE A LA CONNAISSANCE DE NOS LECTEURS QUE LE BON ELEVE APPARAITRA BIENTOT, A CET EFFET ENVOYEZ-NOUS VOS INFOS AU PLUS TARD LE LE 31 JANVIER 2008. | | |
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INTERVIEW : Fatoumata DIABY, élève de l’année 2006-2007
IBRAHIM M CISSE le 18/01/2008, 01 01 35 (UTC) | | Pouvez-vous nous faire connaître votre filiation ?
- Bien sûr, avec plaisir, Je me nomme Fatoumata DIABY, je suis née le 15 Novembre 1990 à Sokodon (Kayes) Mon père s’appelle Mamadou DIABY, il est commerçant ; Ma mère s’appelle Maïmouna DIARRA, elle est ménagère.
2. Quelles sont les écoles que vous avez fréquentées ?
- J’ai fréquenté une seule école fondamentale qui est l’école de base Biya de Faladiè.
3. Les vacances dernières, vous avez participé au camp d’excellence organisé au Bénin sous l’égide du Docteur Cheick Modibo DIARRA.
Quelles sont les matières sur lesquelles ont porté votre concours de sélection ?
- Le concours de sélection était basé sur les matières suivantes : Biologie, Physique – Chimie, Mathématiques et Français.
4. Quel était le but de ce camp ?
- Le camp d’excellence Fondation Pathfinder du Docteur Cheick Modibo DIARRA a pour but :
De propager l’émergence scientifique des jeunes filles africaines.
Entre autre du constat suivant :
80% des enfants d’une famille atteignent le niveau intellectuel de leur mère. Ainsi, en renforçant la capacité des jeunes filles à pousser les études jusqu’au niveau ingéniorat, doctorat etc… les enfants de ces futurs mères emboîteraient leur pas et deviendraient des leaders, futurs dirigeants dont l’Afrique à besoin.
Intégration africaine afin de sauvegarder notre Afrique
5. Quelles sont les différentes activités que vous avez menées au camp ?
- Au camp on nous a reparti en sept groupes pour les travaux de recherches.
Ces travaux étaient basés sur :
- La saponification
- L’amélioration des espèces végétales et animales
- Le cuiseur solaire
- “Le songhaï” un exemple pour un développement durable
La biotechnologie et les microorganismes
6. Quel était l’effectif du camp ? Les différents pays représentés ? Il y’avait combien de nationalités ?
L’effectif était 38
- Il y avait 10 nationalités
Le Bénin, le Burkina Faso, la Guinée Conakry, le Mali, la Mauritanie, la Cote d’Ivoire, le Niger, le Tchad, le Togo et le Sénégal.
7. Que pensez-vous d’un regroupement de cette nature ?
- Je pense qu’un tel regroupement est d’assurer l’intégration africaine, créer des relations entre les jeunes de plusieurs nations en vue de participer au développement de notre continent.
8. Quel fait t’a le plus marqué lors de ce camp ?
- Il y a un centre nommé centre Songhaï au Bénin, dans ce centre le principe de Lavoisier est bien appliqué « Rien ne se perd , rien ne se crée, tout se transforme »
Ce centre participe vraiment au développement du Benin car il engage plus de 10 000 jeunes sans emploi et forme aussi des stagiaires.
9. Quelle leçon as-tu tirée de ce camp ?
Ce que j’ai retenu c’est que rien ne vaut les études, surtout la scolarisation des jeunes filles car éduquer une femme c’est éduquer toute une nation.
Merci Mlle DIABY, bonne chance pour tes études.
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PEDAGOGIE: L’image de l’école
SADIA KEITA le 17/01/2008, 23 11 16 (UTC) | | On a tant dit sur le systeme scolaire que nos images en sont parfois brouillées.
C’est la faute de la société disent les uns, du manque de professeurs et de moyens. C’est celle de la télévision entend-on encore, ou bien peut-être celle des réformes…
Pour les chercheurs qui ont travaillé sur la pédagogie de maîtrise, l’important, de toute façon, n’est pas là : c’est ce qui se passe dans la classe qui compte pour eux.
Que sont et que font les élèves? Comment les enseignants organisent-ils le travail ?comment fonctionne la classe? Ma classe ?
Autant de données précieuses à prendre en compte pour ouvrir la voie à une autre approche
Des problèmes. Et à d’autres solutions.
On a tant dit sur l’école que nous pouvons aujourd’hui mieux faire le point. Les élèves ne sont pas nuls et les maîtres non plus.
Mais il y a dans le fonctionnement de la classe, depuis longtemps, quelque chose qui ne colle pas.
Proposé par le Promoteur du GSOB
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